Tout petit détail d'utilisation du 49-56

Lorsque je suis arrivé à l'ENSOA, le 2 novembre 1967 (25ème Promotion), on m'a remis, comme à mes camarades, un fusil.
C'était un MAS 49-56.

À Bayonne, durant mes classes, j'avais guerroyé à blanc avec des armes anonymes bétébétisées, 49-56, MAT 49, AA-52, perçues le matin, réintégrées après l'exercice, le plus souvent très tard dans la nuit, revue d'armes oblige ...

À Saint-Maixent, nous avions NOTRE fusil, qui dormait avec nous dans nos chambrées, sur un râtelier (voir flèche), enchaîné, certes, mais le chef de chambre avait la clé du cadenas du câble. Nous pouvions le sortir à loisir, pour le bichonner ou disserter sur les arcanes de son fonctionnement ...


Une semaine avant l'arrivée de la Promo, ces armes avaient été vérifiées et réglées, et chacune d'elles était pourvue d'une fiche de réglage attachée sous la grille de visée du lance-grenades, dans un petit étui de plastique aux dimensions ad hoc.

Déjà collectionneur à l'époque, j'ai précieusement gardé celle du mien, la voici :




Ces anodins et très petits documents ont dû finir en autodafé au fil des déclassements, et il ne doit plus guère en rester, de nos jours ...
Vous remarquerez que la lettre de série n'y figure pas, mais c'est un "G", gravé dans ma mémoire avec mon numéro de brevet para et quelques autres ...

Avec ses 46 cm de H+L (à 200 m), mon fusil n'était qu'un honnête "standard".

Il y en avait beaucoup comme lui, mais celui-là, c'était le mien.

S'il a échappé au Grand Fourneau-Moloch et qu'il se balade encore dans le Paradis d'une collection, cette minuscule fiche (55x15 mm) en dira un peu plus à son heureux possesseur ...

A+

feder504 a écrit:

Ils sont marrants les couvre-casques, on dirait des couvre-casques US guerre du Pacifique.

Pfff, 95 promos de différence entre la tienne et la mienne, ça calme

Les chambres ont bien changé mais les pitreries d' ESO restent les mêmes !

Respect à l'ancien

sympa la photo
laisser des armes dans la chambre de jeunes serait impensable aujourd’hui
à croire qu'avant les jeunes devaient être plus disciplinés et matures ?

Bonsoir

Sympa la photos.
de mon année de naissance.
En 87 à l'EAG, plus rien en chambre, tout en armurerie, mais le plaisir et le souvenir de tirer avec un FSA 49/56.

cdt

Jean-marc

Pour Julio : Oui, mais là, on est dans une École Militaire, pas chez le pioupiou lambda dont "la quille" est l'horizon ...

Pour oxi : les couvre-casques sont réalisés perso après perception d'un carré de toile de jute genre "sac à patates".
Pour les promos d'hiver, on fournissait de la peinture mate avec diverses teintes d'ocre et marron, et au printemps, on plaçait un élastique de caoutchouc noir sur le casque (chambre à air découpée) pour y mettre de la végétation, dès que la verdure pointait ses feuilles ...

A+

bon dieu ! pas dans la même arme que toi et un peu plus tard (73) mais ta photo de chambrée me fait remonter de sacrés souvenirs , mêmes armes utilisées 49/56 , MAT49 , AA52 (version FM ) et MAC 50 mais pour nous pas d'attribution perso .
bons souvenirs quand même !

ber

En 1978, aux EOR à Coët, idem : fusils attribués nominativement, au râtelier dans les chambres (réintégrés à l'armurerie durant le week-end). Certes attachés par un câble, mais c'est un responsable de la chambrée qui avait la clef (bibi, en l'occurrence).
A côté des 49-56 j'avais même ajouté ma Winchester 30-30, achetée durant une permission, et l'ami Evrard y mettait parfois sa raquette de tennis... A la première inspection, le pitaine a un peu tiqué ! Mais s'est contenté de vérifier que la 30-30 était effectivement câblée - et a fait enlever la raquette !

A l'EAG,Caserne Eblé-Angers-les mêmes armes,mais à l’armurerie..EOR 4/77

comme quoi,d'un commandement à l'autre...

de bons souvenirs..

SW44mag a écrit:A l'EAG,Caserne Eblé-Angers-les mêmes armes,mais à l’armurerie..EOR 4/77

comme quoi,d'un commandement à l'autre...

de bons souvenirs..

à l'EAG, Eblé, en 63, le 49-56 personnel était au ratelier dans la chambre (de mémoire, on était 6 par chambre) Il me semble bien qu'il y restaient le Wekk-End...

en 1967 , j'ai compté , tu avais 17 ans...et déjà collectionneur et pointilleux...

joselito a écrit:en 1967 , j'ai compté , tu avais 17 ans...et déjà collectionneur et pointilleux...

Je suis Sagittaire (avant de s'en servir), donc de la fin de l'année, et 1948 pour être plus précis, ce qui me fait presque 19 ans début novembre 67, car je suis aussi de la fin de ce mois !  

... mais effectivement, j'ai déjà, à l'époque, un passé de collectionneur ... à tel point que ma propre mère, gentille mais naïve, répondant à un courrier inquisiteur reçu du Colonel commandant le 1er RPIMa après mon incorporation (et dont je n'ai pris connaissance que récemment, car trouvé en 2015 dans les papiers familiaux après le décès de mon père), avait mis en post scriptum :"j'ai oublié de vous dire, mon fils collectionne les armes" ... 

... si jeune et déjà dénoncé ...!  

... pour info, un des camarades présents sur la photo m'a vendu un beau double-Derringer Remington 1865, calibre .41 annulaire ...... pour 50 francs ...  ... qui ne m'intéressait guère et que j'ai échangé, en 1972, contre un très beau pistolet Dreyse 1907 ...

A+

Bonjour,

Je suis passé par St Maix moi aussi. Arrivé en novembre 1975 à la 74ème promotion, j'y ai trouvé un ratelier avec nos armes en plein milieu de la chambre. Dès les premièrs retour de manoeuvres on rentrait, armes à la main, pour les nettoyer sur la table placée dans la travée centrale et prendre nos photos d'apprentis-guerriers.

Sur mon lit du dessus, en train de resserer la bretelle, casque rouge de chef d'équipe et figure "camouflée" (ça va bien avec la couleur du casque, pour le camo!)


 


Et puis on pouvait aussi après la manoeuvre, prendre une photo avec une MAT (doigt sur la détente  , mais avec BTB et sans chargeur)

On peut remarquer, posée sur un lit, une autre MAT, sur la table une NANA (AA.52) et des tubes en carton qui doivent être ceux des roquettes anti-chars.

Autres temps, autres moeurs. 



J'avais 19 ans, je me suis régalé avec "mon" 49-56 (n° G 700 et quelque, je ne me rappelle pas trop le reste)

Je faisais de beaux tirs, j'avais l'oeil 

Pour ceux à qui ça parle je me souviens d'un H+L de 29 mm à 100m à la balplast. Epoque revolue!!!!!!!!!!

Allez, salut la classe, à bientôt sur Tircollection !

Désolé de déterrer ce post mais également issu de l'ENSOA de St Maixent. Respect à mes anciens  et qui plus est FEDER de la 25eme puisque je suis 84 promotions après lui   . En revanche, mon père a du être un de tes formateurs. Il avait fait l'expé et la présentation de la caisse à sable au général commandant l'Ecole.

Je suis de la 109eme promo (03 janvier 1984) du 2eme Bat, 223e Section. Parrain : MDL ALIES, mort lors de la WW2 en attaquant le fort de Manonviller (54). Il faisait partie de la 2eme DB. Un tigre caché à l'entrée du fort a touché son sherman...
Plus jeune et bien entendu sans le savoir, je furetais dans ce fort à la recherche de ...... ce qu'il y avait. Ahhh la Lorraine. Les monts de terre intérieurs étaient garnis de végétation et de mousse et me souviens être tombé après avoir glissé sur un tapis de cartouches 8mm Lebel    . Ce fort avait été transformé en champignonnière.

Revenons à ST MAIX ou j'y ai débuté ma carrière, un bref passage comme tous pour le CM2 à Canclaux, puis en 2003 au 3eme Bat. j'en suis parti en 2013 mais pas très loin puisque je bosse encore avec eux. La boucle est bouclée. Retraite dans 1 an 1/2. 

J'ai retrouvé quelques photos de revues d'armes. Nos rateliers étaient aussi en chambre. 

Retour terrain, rendez-vous avec notre chef pour la revue, sur le palier des chambrées bien entendu mais surtout bien plus tard que le temps qu'il fallait pour les nettoyer : 

je suis derrière l'appareil et non devant : excusez la qualité des photos mais à l'époque et avec nos 480 francs par mois, nous n'avions pas trop le choix.











DCTMAT de l'ENSOA par bataillon : donc armement du 2e BAT






Et pour les nostalgiques, si vous voulez revoir en photo des zones de l'ENSOA (panier fleuri etc... et non les bars : le Gatinais, des Arcs etc... puisqu'il en reste très peu), cela peut se faire   



Je vous salue les anciens

Je suis retourné à St Maix pour le baptême de promotion de mon fils, fin octobre 2014 (296e Promo !), et j'ai revu avec émotion MON bâtiment ...!
... mais la place d'armes, sur laquelle il donnait, avait disparu, recouverte par un ensemble de bâtiments bizarres et probablement démontables, genre "provisoire qui dure", cher aux militaires. Il me semble que c'était "l'ordinaire" ...
À mon époque, tous les bâtiments modernes, autour de la nouvelle place d'armes, n'existaient pas ...

... Canclaux ... rendu à la ville, semble-t-il ... Il y avait une piscine, dans laquelle j'ai militairement appris à nager* !

Je constate en relisant ce post qu'il va me falloir rechercher les photos, disparues avec feu Tinypic, pour les remettre en place !

A+

* vous ne couperez pas à l'anecdote federesque, qui me revient en mémoire suite à "Canclaux", élément déclencheur : 
Peu après notre arrivée à l'école, il y eut des séances de piscine à Canclaux. Comme beaucoup de jeunes issus de familles ouvrières "pas riches", je ne savais pas nager. À la première séance, le maître-nageur, un sergent-chef, procéda au tri, "à droite, ceux qui savent nager, à gauche ceux qui ne savent pas". 
Donc, à gauche pour moi.
"Maintenant, il me faut deux volontaires !"
Des 25 paras arrivés de Bayonne, nous sommes deux dans notre section, le reste, c'est de la "Biffe", comme nous l'ont inculqué nos instructeurs du 1er RPIMa, qui mettaient dans le même sac tout ce qui ne portait pas le béret amarante (sauf les Matafs, bien entendu ...), sans aucun égard pour les bérets bleus de l'ALAT et les divers macarons ornant les "bérets noirs". Je regarde mon copain B..zeloc qui, bien que Breton, est "à gauche" avec moi. Je lui demande "on y va ? on est des paras, merde !" 
Et on y va ...!
"C'est bien les gars" dit le MN. Je tente de glisser "on est des paras et...". Le MN me fait taire d'un geste et assène :"trêve de discussion, vous voyez le plongeoir ? grimpez tout en haut !"
Effectivement, le plongeoir, bel ouvrage en béton, est haut. Je ne me rappelle plus l'altitude de son sommet, mais pour nous, c'est l'Annapurna ... bien plus haut que les plus hauts des obstacles du parcours du combattant ! Et en bas, c'est la Fosse des Mariannes, la partie la plus profonde du bassin !
B..zeloc étant un taiseux, je rappelle au MN que nous ne savons pas nager. "Et alors ? Grimpez la-haut, et magnez-vous !"
Sur la petite plateforme, nous voilà comme deux glands, pas rassurés du tout, le bassin nous semble bien petit, en bas ...
Et vient l'ordre tant redouté : "sautez !"
"Mais chef, nous ..."
"Sautez ! ou je monte vous botter le cul !"
B..zeloc me lance un regard du genre "rendez-vous au Paradis", se pince le nez, et saute "en boule" ...
Une seconde après, je le suis. C'est la première fois que je monte sur un plongeoir, et ne sachant que faire, je tente d'imiter Johnny Weissmuller (cri de Tarzan excepté), vu au cinéma, en partant pour un splendide "saut de l'ange" ... qui finit par un magnifique et retentissant "plat" d'anthologie !
Sonné, je rejoins mon camarade entre deux eaux, car nous avons bien entendu coulé à pic ...
Les gestes réflexes qui somnolent au fond des gènes de tout un chacun se réveillent juste à temps pour nous faire gigoter juste ce qu'il faut pour rejoindre la surface (ou ses environs), et là, deux perches salvatrices, tenues par des Appelés hilares, se tendent vers les intrépides paras qui n'en mènent pas large ...
Et nous voilà face aux autres non-nageurs, moi arborant une très belle couleur rouge sur toute la face avant, résultat du "plat", le MN s'adresse alors à eux, au bord du petit bassin :
"Vos deux camarades ont sauté du plus haut des plongeoirs, dans la partie la plus profonde de la piscine, 5 mètres. Comme vous, ils ne savent pas nager, vous avez vu qu'on peut les récupérer, et qu'ils ne sont pas morts. Vous ne risquez donc rien, allez ! Tout le monde à l'eau !"

C'est à ce moment que j'ai compris que la démonstration était la pierre angulaire de l'instruction ... 
... cela dit, je n'ai plus jamais été volontaire sans savoir ce qui pouvait m'attendre ...

Mort de rire ! 

Moi aussi, j'ai fait mes classes dans cette piscine mais je savais nager. Elle rappelle tellement de souvenirs a tellement de monde que la fresque à décor romain ou grec (greco-romain dirons-nous) qui ornait son mur a été sauvegardé. 

En effet, la partie ou se tient l'ordinaire/mess était la place de rassemblement du 114e RI (qui fut dissout) pour laisser la place au 4e Bataillon. Cet ordinaire provisoire mis en place en 2005 accueillit le mess cadres également (le mess du quartier Marchand, près de la Place Denfert-Rochereau, a aussi été cédé à la ville, comme le quartier Canclaux). A l'époque, le quartier Marchand, avec son Musée, était aussi le lieu de résidence du général. 



La piscine de tes exploits : 





N'est ce pas toi là sur la photo ?  





La voilà aujourd'hui :

Plutôt "grec", le décor  

(enfin, sur ce que je "devine" de la photo...j'ai pas fait trempette dans cette piscine )


En tous cas, elle a laissé de sacrés souvenirs, cette piscine, on dirait 

Super, toutes ces photos souvenir....

Au moins la fresque a été conservée.

Ne pas savoir nager à cette époque n'était pas une tare ; Il à fallut attendre "le plan" "1000 piscine" pour voir se développer https://exercice.co/Vies-mort-des-piscines-Tournesol . Mais comme personne n'avait pensé à financer des bus pour emmener les enfants des écoles à la piscine...

rackham a écrit:Au moins la fresque a été conservée.

Ne pas savoir nager à cette époque n'était pas une tare ; Il à fallut attendre "le plan" "1000 piscine" pour voir se développer https://exercice.co/Vies-mort-des-piscines-Tournesol . Mais comme personne n'avait pensé à financer des bus pour emmener les enfants des écoles à la piscine

jusqu'à l'âge de 16 ans, je ne savais pas nager...le collège Parisien où j'étudiais disposait à certaines heures d'une piscine municipale, certains jours, un collège de filles du même arrondissement avait un créneau commun avec le nôtre...ces jours là, personne n'était "exempté de sport"!
et c'est principalement pour ne pas avoir l'air trop "con" que j'ai appris à nager!
pendant mon service militaire, point de piscine, mais la Moselle proche!!

rackham a écrit:... Ne pas savoir nager à cette époque n'était pas une tare ; Il à fallut attendre ...

Alors que les allemands savaient tous nager ; même les boches !
C'est qu'ils ont moins tendance à vouloir "péter plus haut que ...", et tandis que chez nous certaines communes se ruinaient à construire des piscines couvertes ou préféraient se noyer faute de budjet, les teutons primitifs se contentaient largement d'une berge de lac, d'une gravière ou même d'un tronçon de canal désaffecté, muré des deux bouts (j'en ai connu une dont l'un des bouts était fermé par l'ancienne porte d'écluse, bien calfatée, ce qui n'empêchait pas d'avoir la pelouse pour s'étaler, les plongeoirs, échelles pour sortir de l'eau, maîtres nageurs à sifflet, etc.)

Je lis avec grand plaisir vos souvenirs.
Etant ancien marin, je n'ai pas connu les mêmes situations que vous, mais j'ai eu le plaisir de vider quelques chargeurs de MAS 49-56, MAT 49 et MAC 50 et de tirer quelques rafales d'AA52.

Je n'étais pas bon tireur car je n'arrivais pas à cligner de l'oeil gauche à l'époque (oeil directeur gauche étant droitier, ça n'aide pas...) aujourd'hui oui mais je me suis entrainé...
Quand bien plus tard, étant devenu navigant, l'AA52 a été installé sur l'hélicoptère LYNX WG 13 le tir au jugé a été bien plus facile et précis grâce aux traçantes...

De bons souvenirs ces séances de tir....

C'est marrant ... moi, je suis gaucher, œil directeur droit !

Le cas avait été vite réglé à Bayonne, où le premier cours "IST" comprend le test du doigt tendu, pour justement déterminer cet œil.
Résultat : œil directeur droit !
Donc :
- "œil droit, tu épauleras à droite."
- "mais, caporal, je suis gaucher ..."
- "rien à foutre, tu épauleras à droite ! vu ?"
- "vu, caporal."

Au début tireur moyen au fusil, du fait des changements d'armes incessants, je me suis amélioré dès que j'ai pu disposer de mon fusil "perso", comme à St Maix. 

... Au final, les menus problèmes, s'ils sont traités au départ de manière énergique, se résolvent facilement ... ça manque aujourd'hui, surtout en ... très haut lieu !

Plus tard dans ma carrière, j'ai été membre de l'équipe de tir régimentaire (pistolet), instructeur de tir, avec une prédilection pour tout ce qui sort de l'ordinaire, notamment les mitrailleuses, les lance-roquettes, et le tir des grenades avec le bon vieux 49-56 ... souvenirs ...

Pour l'anecdote (encore ! mais c'est pas vrai !!!), lors du challenge "toutes armes" qu'organisait l'ENSOA au champ de tir de Biard (Poitiers), lors duquel les compagnies composant la "Division" (Promo, en fait) se mesuraient les unes aux autres pendant toute une journée, j'ai représenté mon unité au tir à la AA52 à 600 m, plaçant 45 balles sur 50 dans la cible "spéciale" de ce concours, un rectangle blanc dont je n'ai plus les dimensions en mémoire, sur lequel était placé une cible SC 4, avec une petite marge de blanc en bas, et plus importante sur les 3 autres côtés, 1 point pour les balles "en cible", 3 pour les balles dans la SC 4.
J'ai fait 73 points ... cela ne paraît pas folichon, mais une SC 4 à 600 m, on a du mal à la centrer sur le haut de cet immense guidon ! En tout cas, j'ai fini 1er de cette catégorie !
L'adjudant-chef qui surveillait mon tir à la jumelle m'a dit, avant que nous allions au résultat, "bon tir ! je pense qu'il n'y a que les traçantes qui sont sorties !". Si c'était bien le cas, il y en a au moins 5 qui sont rentrées !

A+