absence de marquage sur n°4 mk1

Caudron a écrit:Ha ha,     Parce que le fabricant était au courant de l'usage qui serait fait du fusil qu'il était en train de fabriquer sans doute? Et qu'il adaptait sa production en fonction du client final...  

Je ne sais pas qui a lancé ce bobard, mais des LE de parachutage, j'en ai vu pas mal, et je n'en ai jamais examiné qui ait été dépourvu de N° de série.  Anglais, canadien, N°4, N°1, tout ceux que j'ai eu dans les mains avaient été matriculé et portaient un code fabricant, pour le anglais et Long Branch en toutes lettres pour les canadiens.

Et quand on y pense, à quoi bon dissimuler l'origine d'un fusil fabriqué dans une usine totalement hors de portée de l'adversaire, et pourquoi spécifiquement pour ceux qui allaient être parachutés à la résistance?

Dernier point, en 1943, le mk I n'était plus fabriqué chez Long Branch puisqu' ils sont passé à la version mk I* à la fin de 1942.

Caudron a écrit:Bonsoir,
Dans mes jeunes années j'ai récupéré chez mon grand père quelques armes de la résistance  "recueillies"  par lui de ci delà... Certaines avaient d'ailleurs servi , et avait été servies par lui.  C'était la guerre.
J'ai dû en faire neutraliser quelques unes qui tiraient en automatique...
J'ai en outre bien fait d'attendre que certaines passent en catégorie C. Parmi celles ci , 2 Enfield  N4 MK 1 SANS AUCUN MARQUAGE, parachutés dans la région lyonnaise. Un utilisateur y avait gravé sur la crosse  le nom de sa petite amie.  Je l'ai donné à mon fils qui a le même virus  que moi . L'absence de N° a été compliqué pour le SIA. J'y ai inscrit un N° figurant sur la tête de culasse.
Bref, sans numéro  ni aucun marquage , ça existe. Au besoin , je pourrai poster un cliché.
Gilles

Ha ha,     Parce que le fabricant était au courant de l'usage qui serait fait du fusil qu'il était en train de fabriquer sans doute? Et qu'il adaptait sa production en fonction du client final...  

Je ne sais pas qui a lancé ce bobard, mais des LE de parachutage, j'en ai vu pas mal, et je n'en ai jamais examiné qui ait été dépourvu de N° de série.  Anglais, canadien, N°4, N°1, tout ceux que j'ai eu dans les mains avaient été matriculé et portaient un code fabricant, pour le anglais et Long Branch en toutes lettres pour les canadiens.

Et quand on y pense, à quoi bon dissimuler l'origine d'un fusil fabriqué dans une usine totalement hors de portée de l'adversaire, et pourquoi spécifiquement pour ceux qui allaient être parachutés à la résistance?

Dernier point, en 1943, le mk I n'était plus fabriqué chez Long Branch puisqu' ils sont passé à la version mk I* à la fin de 1942.